Nous voilà confinés dans nos intérieurs et dehors le temps passe, le soleil se lève, se couche et les avions s’arrêtent de voler. Peut-être qu’après, tout sera plus vert et qu’on s’embrassera sans masque, qu’on se postillonnera à la figure…
En attendant on circule entre nos murs comme des rats de laboratoire, des figurants d’un mauvais film d’anticipation où les épidémiologistes tournent en boucle sur BFM. Et pourtant « On est ce qu’on veut » disait Sartre dans Huis Clos.
Alors pour passer le temps, seul ou en famille, on participe au premier festival en confinement total !
Pour ce faire, rien de plus simple : on scénarise, on filme, on monte et on imagine. On crée pour marquer ce temps et pour y échapper.